L\'Insoluble

L\'Insoluble

Trois images du printemps













Un des éléments principaux à cette saison est qu'il est possible de continuer de marcher jusqu'au soir et qu'il ne fasse pas encore nuit. Entre la Gente et les Benoîts, j'ai oublié combien les combes des forêts de chênes étaient immenses et vastes, et qu'on pouvait s'y perdre, dans cette chevelure luxuriante, et presque j'aimerais, mais constamment la ligne d'une montagne ou l'inclinaison d'un sentier de chasseur se rappelle à moi, malgré moi et même si je ne demande rien.
Ici, marcher sur les terres de mes ancêtres est une réalité physique et directe, et que je l'accepte ou non, cet étrange fait donne un sentiment de sécurité et de protection.








Ma fenêtre donne sur l'Ouest. J'ai ainsi compté, les soirs de folie, le nombre incroyable de couchers de soleil que j'avais manqués.







05/05/2009
2 Poster un commentaire