L\'Insoluble

L\'Insoluble

Cannes, décembre

Sur la Croisette en décembre, ce nom qui ne lui va pas... Pluie et vent battent avec force, il fait grand froid, bon, non, pas réellement, mais le corps, dans les kilomètres à pied qui font le tour de la presqu'île pour rejoindre l'école, est soumis à pression, quand je reviens, je m'endors dans le train. L'hiver passe.
Tout près de l'avenue de Lérins, je m'aventure sur le sable rouge et trempé. Des herbiers de posidonies colonisent le sol. Cela veut dire que tout est sain ici.
Dans l'école aussi, tout est sain, quand Nadia parle, c'est un merveilleux professeur en devenir...
Au loin, l'embarcadère pour les îles.








16/12/2008
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